
Surqualifiée et surexploitée, Rita use de ses talents d’avocate au service d’un gros cabinet plus enclin à blanchir des criminels qu’à servir la justice. Mais une porte de sortie inespérée s’ouvre à elle, aider le chef de cartel Manitas à se retirer des affaires et réaliser le plan qu’il peaufine en secret depuis des années : devenir enfin la femme qu’il a toujours rêvé d’être.

Sur une petite île japonaise, la vie tourne autour des changements de saison. L’hiver, c’est l’heure du hockey sur glace à l’école, mais Takuya n’est pas très enthousiaste. Son véritable intérêt se porte sur Sakura, une étoile montante du patinage artistique originaire de Tokyo, pour laquelle il commence à développer une véritable fascination. L’entraîneur et ancien champion Arakawa décèle le potentiel de Takuya et décide de l’encadrer pour qu’il forme un duo avec Sakura lors d’une prochaine compétition. Alors que l’hiver persiste, les sentiments grandissent et les deux enfants forment un lien harmonieux. Mais même la première neige finit par fondre.

Gaël n’avait que cinq ans lorsque sa mère, Didy, est morte. Les souvenirs de sa présence se sont depuis perdus dans la fureur des guerres civiles, du génocide et du sida qui ont ravagé le Burundi puis le Rwanda et qui ont précipité son exil vers la Suisse. En revenant au Rwanda 30 ans plus tard, il se risque à rouvrir les pages de son histoire familiale en partant à la rencontre de celles et ceux qui ont connu sa mère. A travers sa mémoire, c’est le portrait de toute une génération de femmes rwandaises qui se dévoile.

Karen habite dans la maison de son enfance dans un cadre idyllique avec son mari Markus et leurs enfants. Pour la fête d’anniversaire de Markus, Jule, la sœur de Karen, arrive avec sa famille. Tout oppose les deux femmes. De sombres souvenirs de leur défunte mère exacerbent la tendance de Jule à se rebeller contre sa sœur autoritaire. Tandis que la maison se remplit et qu’un moineau coincé dans la cheminée cherche à en sortir, la colère monte en Karen – jusqu’à un point de non-retour. C'est le moment de faire table rase du passé…

La jeune Shula conduit la nuit dans une voiture le long d’une route déserte en écoutant de la musique afropop. Elle porte un déguisement décalé, un ensemble ample qui en jette et des lunettes noires combinée à une sorte de masque en forme de diadème orné de paillettes argentées. Soudain, elle ralentit: un homme mort gît sur la route. Avec un calme stoïque, presque irritée par ce corps, Shula sort son téléphone et appelle son père. Le défunt semble être celui de son oncle Fred. Lorsque, peu après, sa cousine Nsansa, ivrel
Le lendemain matin, la police arrive, on découvre que la maison la plus proche du lieu du drame est un bordel. La cousine Nsansa trouve cela à hurler! «The big man has died a happy man», déclare-t-elle, autrement dit: «Le grand bonhomme est mort en homme heureux.» Mais il vaut mieux balayer rapidement ce détail embarrassant.
Lorsque Shula rentre chez elle le matin après sa découverte nocturne, le noyau familial zambien commence à se déchaîner. D’innombrables personnes arrivent, à commencer par diverses tantes. Elles sont sceptiques à l’égard de Shula, qui vient de rentrer de l’étranger: avec ses yeux si secs, elle ne ressemble pas à une personne qui aurait découvert un cadavre. Lorsque Shula et Nsansa s’éclipsent pour aller boire une bière avec Bupe, une troisième cousine, elles grattent d’abord la surface, avant de ne nous précipiter dans les certitudes: le défunt serait loin d’avoir été la figure exemplaire qu’il semblait être pour ses frères et soeurs.

Brésil, 1971 : l’ancien député de gauche, Rubens Pavia, vit avec sa famille l’ambiance vibrante des années 70 à Rio de Janeiro. L’emprise de la dictature militaire fait partie de son quotidien. Un jour, Rubens est enlevé par des sbires – et disparaît. Sa famille ne sait pas où il se trouve – ni s’il est encore vivant. Eunice (Fernanda Torres), son épouse, tente de le retrouver et d’obtenir des informations sur ce qui est arrivé à son mari bien-aimé.
Le réalisateur Walter Salles raconte l’histoire vraie de la famille Pavia, chez qui il allait et venait lorsqu’il était enfant, de manière touchante et avec des images magnifiques. Son film profondément humaniste est une déclaration d’amour au Brésil démocratique, qui s’incline devant ceux qui ont lutté contre l’injustice.

Après 14 ans de vie commune, Ale et Alex ont une idée un peu folle : organiser une fête pour célébrer leur séparation. Si cette annonce laisse leurs proches perplexes, le couple semble certain de sa décision. Mais l’est-il vraiment ?
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